François Berger

écrivain, éditeur, essayiste et conférencier

Ses publications

Découvrez ci-dessous les diverses publications de l’écrivain François Berger en sélectionnant une catégorie :

Les indiennes

Réédition du livre de poésie en prose, paru en 1988 chez Eliane Vernay,
enrichi d’illustrations de l’artiste-peintre Isabelle Breguet
, 2022
Les indiennes: les toiles peintes, la terrasse à l’odeur des fruits mûrs, les chaises blanches de l’été, la petite qui semble avoir grandi depuis ce matin, mais aussi le collier et le billet d’amour, peuplent ce monde où les indienneurs se souviennent d’un jeune homme défilant avec les drapeaux. Tentative de restitution d’un tableau romantique ? Sans doute, et pour notre joie. Mais la démarche du poète vise, avant tout, un autre but : dire que la « vraie vie » n’est point « ailleurs » mais ici, dans notre lieu aux mots les plus simples, le pain, le baiser, où toute promesse s’accomplit. C’est là sa véritable tentative, certes ambitieuse, mais réussie. Et si « demain n’existe pas, pourtant nous y serons comblés. Le bonheur ne nous quitte jamais. Mais souvent distraits nous le cherchons. Il bouge peu, comme la lumière. » Poésie en prose, dont on se plaît à souligner la qualité de la vision et la parfaite cohérence, ce livre de François Berger, publié la première fois en 1988, apparaît comme l’esquisse de sa démarche romanesque menée depuis.

Les indiennes

Réédition du livre de poésie en prose paru en 1988 chez Eliane Vernay, Genève
, 2019

Aïcha de Jemaa el Fna

Conte oriental paru dans la Revue Autrementdit.
, 2005
Paraissant en Suisse et au Maghreb.

Les indiennes / Pânze indiene

Texte bilingue français-roumain, traduction de Martha Izsak
, 2000
ISBN 973-8169-52-6

Il Prato / Le Pré

Texte bilingue italien-français Traduction et préface du professeur Gerardo Vacana Deuxième impression 1999
, 1996

Le Repos d’Ariane

, 1990
ISBN 2-8251-1881-8
Le récit possible, qui reste à l’état virtuel, et qui nous propose, pour cette raison même, le plaisir d’imaginer, d’animer, de construire une fable, c’est la matière merveilleuse du Repos d’Ariane. L’art du poète est dans sa science très accomplie de l’expression, utilisant la pauvreté comme un joyau ; et je pense aux fausses naïvetés de Verlaine et de Van Gogh.

Les indiennes

Tentative de restitution d’un tableau romantique
, 1988
Les indiennes: les toiles peintes, la terrasse à l’odeur des fruits mûrs, les chaises blanches de l’été, la petite qui semble avoir grandi depuis ce matin, mais aussi le collier et le billet d’amour, peuplent ce monde où les indienneurs se souviennent d’un jeune homme défilant avec les drapeaux. Tentative de restitution d’un tableau romantique ? Sans doute, et pour notre joie. Mais la démarche du poète vise, avant tout, un autre but : dire que la « vraie vie » n’est point « ailleurs » mais ici, dans notre lieu aux mots les plus simples, le pain, le baiser, où toute promesse s’accomplit. C’est là sa véritable tentative, certes ambitieuse, mais réussie. Et si « demain n’existe pas, pourtant nous y serons comblés. Le bonheur ne nous quitte jamais. Mais souvent distraits nous le cherchons. Il bouge peu, comme la lumière. » Poésie en prose, dont on se plaît à souligner la qualité de la vision et la parfaite cohérence, ce quatrième livre de François Berger est d’une expression plus narrative que les précédents, et apparaît comme l’esquisse d’une démarche romanesque menée depuis peu.

Gestes du Veilleur

, 1984
Ces Gestes du veilleur sont ceux du guet, de la vigilance, du refus de sombrer dans l’indifférence ou l’oubli. Dans une poésie forte, simple, immédiate, François Berger parvient à restituer en nous ce regard du premier instant, dans sa fraîcheur et son bonheur d’être. Relation au monde, crainte d’en être séparé: la poésie est présence, conscience, expression de ce qui est sans voix et pourtant retentit en nous.

Le Pré

, 1986
Le pré: un paradis d’avant la faute. L’amour s’y accomplit dans la contemplation silencieuse de l’être chéri, à la fois proche dans la maison de tous les jours et comme inaccessible. Les arbres, les bêtes, les fruits peuplent ce monde fragile et pur sous les étoiles où surviennent miracles et métamorphoses. Aucun langage n’est plus candide, plus transparent que celui de François Berger; aucun cependant n’enferme plus de merveilles, d’inattendu, chaque image dévoilant une vérité secrète que la métaphore aussitôt rend évidente et qui possède le pouvoir de vous étreindre le coeur. Un poète de la même famille qu’Yves Bonnefoy, Philippe Jaccottet et Anne Perrier.

Mémoire d’Anges

, 1981
ISBN 2-8252-0436-6